Cette journée n’a été qu’un gâchis de temps et d’argent.

Il est riche, il n’a pas besoin d'argent !

Il n’a personne avec qui jouer.

Il n’a jamais regardé en arrière.

À prendre le terme dans la rigueur de l’acception, il n’a jamais existé de véritable démocratie, et il n’en existera jamais. Il est contre l’ordre naturel que le grand nombre gouverne et que le petit soit gouverné.

Le cavalier n’a qu’à se laisser porter ; encore a-t-il dû se mettre en selle.

Il y n’a point de bonheur sans courage, ni de vertu sans combat.

Mary n’a personne avec qui parler, mais elle ne se sent pas seule.

Ken n’a pas plus de dix livres.

Il n’a pas son pareil.

La plus perdue de toutes les journées est celle où l’on n’a pas ri.

Jamais cour n’a eu tant de belles personnes et d’hommes admirablement bien faits ; et il semblait que la nature eût pris plaisir à placer ce qu’elle donne de plus beau dans les plus grandes princesses et dans les plus grands princes.

Les idées nouvelles déplaisent aux personnes âgées ; elles aiment à se persuader que le monde n’a fait que perdre, au lieu d’acquérir, depuis qu’elles ont cessé d’être jeunes.

Entre le samovar et la table de jeu, les heures russes coulent inoffensives et inutiles, comme une monnaie dépréciée, si abondante que nul n’a jamais songé à l’économiser.

Il y a des circonstances où il faut s’abstenir de jouer à la bourse, aux courses, au baccarat ou à la roulette : primo, quand on n’a pas les moyens et secundo, quand on les a.

Dans l’amour entre l’homme et la femme, il y a toujours une minute où cet amour atteint son plus haut degré, où il n’a plus rien de réfléchi ni rien de sensuel.

Il n’a pas admis la défaite.

La parole n’a pas été donnée à l'homme : il l'a prise.

Mon père, qui n’a jamais été gentil avec moi, est venu me voir.

La science n’a pas de patrie, parce que le savoir est le patrimoine de l’humanité, le flambeau qui éclaire le monde.

Nous vivons dans un siècle où les idées superflues surabondent, et qui n’a pas les idées nécessaires.

Ça n’a rien à voir avec la popularité.

Aujourd’hui il n’a pas le droit de manger de choses sucrées.

Il n’a jamais demandé de l’argent.

Il n’a jamais rempli le fût.

Il n’a jamais porté cette veste.

Il n’a jamais respecté la loi.

Il n’a jamais respecté le code de la route.

Il n’a jamais appris à lire.

Il n’a jamais conduit un fourgon.

Il n’a jamais regardé ce film.

Il n’a jamais visité Paris.

Il n’a jamais été à Paris.

Il n’a jamais lu le roman de Tom.

Il n’a jamais poursuivi Tom en justice.

Il n’a jamais accompagné Tom à l’école.

Il n’a jamais acheté un fourgon.

Il n’a jamais ouvert cette porte.

Il n’a jamais insulté Tom.

Il n’a jamais abandonné cette habitude.

Pour avoir une conversation distinguée se rappeler de n’ouvrir la bouche que quand on n’a rien à dire.

La lune, une vieille dame qui n’a pas d’oreilles.

Le Temps n’a d’autre fonction que de se consumer : il brûle sans laisser de cendres.

La presse est une bouche forcée d’être toujours ouverte et de parler toujours. De là vient qu’elle dit mille fois plus qu’elle n’a à dire, et qu’elle divague souvent.

L’existence n’a pas de raison d’être, elle est au-dessus de toutes les raisons.

Il dit qu’il n’aime pas sortir car il n’a pas envie de croiser n’importe qui.

On n’a qu’à se rejoindre au même bar que l’autre fois.

Ça fait trois jours que Tom n’a pas fermé l’œil.

Tom n’a pas dormi de la nuit.

C’est vrai que Mochida a fait de son mieux, mais il n’a pas été assez vigilant.

Votre mémoire vieillit avec vous, mère Olly ; Gill n’a jamais eu de frère.

Le videur n’a pas voulu me laisser entrer, sous prétexte que ma tenue n’était pas convenable.

Depuis qu’on lui a recommandé d’être patient, il n’a plus foi en la providence.

Mon voisin est fâché contre moi, car il n’a pas su me convaincre de lui acheter sa vieille voiture.

Il n’a pas le courage de ses opinions.

Celui qui ne connaît pas ces émotions peut dire qu’il n’a jamais aimé.

Plein de gloire, rassasié de jours, bercé au murmure universel des respects et des deuils, Victor Hugo s’en est allé. Mais son âme demeure resplendissante comme un soleil dont l’humanité est tout illuminée. Aucune impure haleine, pas même celle de la mort, n’a pu éteindre « le grand Flambeau ». La nuit n’est point sur cette tombe, de laquelle monte, auguste, l’aube rajeunie de l’immortalité.

Le Paris actuel n’a donc aucune physionomie générale. C’est une collection d’échantillons de plusieurs siècles, et les plus beaux ont disparu.

Quasimodo aimait l’archidiacre comme jamais chien, jamais cheval, jamais éléphant n’a aimé son maître.

Au moins il n’a pas dû souffrir, vu qu’il est mort sur le coup.

Elle n’a pas eu d’autre choix que de faire le trottoir.

Ma mère n’a fait que pleurer.

Mon père n’a pas voulu que j’aille étudier aux États-Unis.

Tom n’a ni confirmé, ni infirmé la rumeur.

Tom n’a ni confirmé, ni infirmé les rumeurs.

Personne n’a un chargeur de portable ?

« Dominique n’a pas encore ses règles ? » « Bien sûr que non, c’est un garçon. »

Tom vit dans un gourbi, il n’a même pas l’eau courante.

Tom n’a pas la télé chez lui.

Ça n’a rien à voir.

Il n’est pas marié, n’a aucun enfant et nul ami.

Tom n’a pas l’étoffe d’un professeur.

Tom n’a pas l’étoffe d’un enseignant.

Tom n’a pas la carrure du patron.

Tom n’a pas l’étoffe d’un pilote de course.

« Ma pitoyable vie n’a fait que contribuer au réchauffement climatique. » « Sois pas si triste. Tu fais de moi une femme heureuse. Tu crois que c’est absurde, ça ? »

Pourquoi sanctionner un élève qui n’a pas fait un travail qui était trop difficile pour lui ?

En tout cas, elle a bon appétit. On dirait qu’elle n’a pas mangé depuis trois jours.

Aucun des personnages qui ont trempé dans la mort de Pierrette n’a le moindre remords.

Atroce civilisation ! elle n’a pas de pain pour ses grands hommes qui lui donnent son luxe ; elle ne les nourrit que d’injures et de moqueries, cette gueuse dorée !

Il n’a confié son secret à personne.

Tom n’a pas besoin de se raser, puisqu’il est imberbe.

Le défi n’a finalement pas été tenu.

Jamais le maïs n’a raison contre la poule.

Un peintre qui n’a été qu’un peintre ne sera jamais que la moitié d’un artiste.

Vois-tu, mon ami, on ne vit pas, on dort quand on n’a pas un amour dans le cœur.

Vois-tu, mon ami, on ne vit pas, on dort quand on n’a pas un amour dans le cœur. Nous sommes les enfants de la poussière, mais, lorsqu’on aime, on devient Dieu, on devient pur comme au premier jour de la création !

Il passait par cette phase de jeunesse où chaque minute est si emplie, que le jeune homme n’a pas le temps de penser à aimer.

Heureux celui qui sait rire de lui-même ; il n’a pas fini de s’amuser.

Deux mois après, j’étais assis auprès de la femme éthérée, dans son boudoir, sur son divan. Je tenais l’une de ses mains, elle les avait fort belles, et nous gravissions les Alpes du sentiment, cueillant les plus jolies fleurs, effeuillant des marguerites (il y a toujours un moment où l’on effeuille des marguerites, même quand on est dans un salon et qu’on n’a pas de marguerites)…

Notre époque n’a plus ces belles fleurs féminines qui ont orné les grands siècles de la Monarchie française.

L’éventail de la grande dame est brisé. La femme n’a plus à rougir, à médire, à chuchoter, à se cacher, à se montrer. L’éventail ne sert plus qu’à s’éventer.

Jusqu’à présent elle n’a rien compris.

Personne n’a choisi ni ses parents ni son lieu de naissance.

Actuellement, il n’y’a pas un seul jeune qui n’a pas de portable entre les mains.

Jamais une fête n’a eu autant de succès que celle de leur mariage.

Ddaykha n’a pas encore atteint la trentaine d’années.

Même à sa mère elle n’a rien dit.

Une année s’écoule et il n’a pas changé d’un iota.

Dans la constitution algérienne, tamazight n’a pas eu ce qu’elle mérite.

Il n’a plus sa raison.