Je n’ai pas de compte sur ces forums.

Mes amis disent que je suis un écrivain prolifique, mais je n’ai rien écrit depuis des mois.

Je suppose que mon point de vue sur l’amitié est assez morne parce que je n’ai jamais réellement eu à compter sur qui que ce soit pour quoi que soit.

En ce qui me concerne, je n’ai pas d'objection.

Je n’ai pas de monnaie sur moi.

« As-tu fini ? » « Au contraire, je n’ai pas encore commencé. »

En ce qui me concerne, je n’ai pour le moment rien à dire.

Je n’ai pas seulement mangé du plov, mais j’ai aussi mangé des kébabs.

Je n’ai rien mangé à part du pain et du beurre.

Mais je n’ai pas d’argent.

Quel dommage que je n’ai pas de jardin !

Elle a tellement changé, que je n’ai pas pu la reconnaître.

« À vrai dire, mon petit père, je n’ai encore jamais eu l’occasion de vendre des défunts. »

Je n’ai rien entendu.

Je n’ai pas de temps en ce moment.

Je préfère le clavier Azerty même pour le néerlandais, mais je n’ai jamais compris pourquoi le point se trouve au niveau 2.

Sur mon honneur je n’ai jamais vu autant de femmes aimables dans ma vie, et il y en a plusieurs qui sont d'une beauté peu commune.

Quand j’aurai une maison à moi, je serai malheureuse si je n’ai une belle bibliothèque.

Je n’ai pas le temps.

Je n’ai même pas de pénis, alors je peux effacer sans hésitation tous ces courriels.

Parle plus fort car je n’ai rien entendu !

Je n’ai pas besoin de vous.

Je n’ai jamais voulu devenir quoi que ce soit.

Je n’ai de rancune contre personne.

Je n’ai pas un centime sur moi.

Je n’ai jamais volé de vélo dans la rue.

Ils ont fait du bruit toute la nuit. À cause de cela, je n’ai pas fermé l’œil.

Je n’ai lu ce document qu’en diagonale.

La porte était fermée, donc je n’ai pas pu entrer.

Je n’ai jamais fait confiance à Tom.

Je n’ai jamais dit ça à Tom.

Je n’ai jamais revu Tom.

Je n’ai jamais revu son visage.

Je n’ai jamais vu quelqu’un comme Tom auparavant.

Je n’ai jamais dit que tu étais ennuyeux.

Je n’ai jamais dit que tu ne pouvais pas y aller.

Je n’ai jamais dit que ce travail serait facile.

Je n’ai jamais dit que ça serait simple.

Je n’ai jamais vraiment su ce qu’il s’était passé.

Je n’ai jamais vraiment connu Tom.

Je n’ai jamais vraiment pris la peine d’y réfléchir.

Je n’ai jamais voté.

Je n’ai jamais rien appris à personne.

Je n’ai jamais rien volé de ma vie.

Je n’ai jamais rien volé à Tom.

Ils demandaient tout ce qui leur semblait beau : une bague, une ceinture, des sandales, la frange d’une robe, et, quand le Carthaginois dépouillé s’écriait : — « Mais je n’ai plus rien. Que veux-tu ? » Ils répondaient « Ta femme ! » D’autres disaient : — « Ta vie ! »

Je n’ai pas autant d’expérience que toi.

Je n’ose lui parler car je n’ai pas d’esprit...

Je n’ai pas de gants ? ... La belle affaire ! Il m’en restait un seul d’une très vieille paire ! – Lequel m’était d’ailleurs encor fort importun. Je l’ai laissé dans la figure de quelqu’un.

Je n’ai plus faim.

Je n’ai pas été à la hauteur.

Je n’ai pas lu le reste.

Je n’ai plus l’âge d’écouter des contes de grand’mères.

Je n’ai pas cru un traître mot de ce que m’a dit Tom.

Comme l’imprimante s’est arrêtée en cours de route, je n’ai qu’une partie de son CV.

Maintenant je suis captif. Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée. Une horrible, une sanglante, une implacable idée ! Je n’ai plus qu’une pensée, qu’une conviction, qu’une certitude : condamné à mort !

Je n’ai pas envie d’aller travailler.

Moi, je n’ai jamais vu la tour Eiffel à Paris.

En cette heure funeste je veux vous rappeler quelques unes de mes paroles tenues en 1971, je vous les dis calmement, avec une absolue sérénité : je ne suis pas bâti de la manière dont on fait les apôtres et les messies. Je n’ai pas l’envergure d’un martyr, je suis un lutteur social qui accomplit la mission que le peuple lui a confiée.

Je n’ai su le fin mot de l’histoire qu’après sa mort : il avait une amante.

Je n’ai pas envie d’aller faire les courses tout seul.

Je n’ai pas envie d’aller faire les courses toute seule.

Je n’ai aucun compte à vous rendre.

Je n’ai pas l’intention de me mêler de votre affaire.

Je n’ai pas l’intention de me mêler de vos affaires.

Je n’ai pas eu une année facile.

Je n’ai pas réussi à faire faire éviter les grands axes à mon GPS.

Je n’ai jamais mangé de la viande de cheval.

Je n’ai même pas la permission de pleurer.

Il y a des moments où je pleurerais si j’étais seule, car on ne me laisse rien faire à ma guise, et je n’ai même pas la permission de pleurer.

Je n’ai pas les mines du Pérou.

Je n’ai jamais vu son visage.

Je n’ai jamais vu de chambre aussi fastueuse.

Mais, tiens ! je n’ai mordu que de ce côté-ci, je vais te donner celui-là.

Ma fiancée a disparu, me faisant dire qu’elle ne pouvait pas être ma femme ; qu’elle était une couturière et non pas une princesse. Je ne sais que devenir. Je m’en vais. Je n’ai plus envie de vivre.

Attendez, je n’ai pas fini.

Attends, je n’ai pas fini.

Je n’ai pas eu le temps de manger.

Je n’ai jamais entendu parler de ça.

Tout le long de la nuit je n’ai pas fermé l’œil.

Je n’ai rien à ajouter.

J’ai remué ciel et terre et je n’ai rien trouvé.

Je suis revenu bredouille, je n’ai pris aucun poisson.

Pour moi, mon meilleur poème reste celui que je n’ai pas encore écrit.

Je n’ai rien à dire.

Jusqu'à présent je n’ai rien compris.

Je n’ai pas encore terminé, donc je continue.

Je n’ai demandé que ça.

Je n’ai qu’une parole.

Je n’ai jamais volé.

Je n’ai pas entendu ce qu’il a dit.

Je n’ai pas entendu ce que tu as dit.

Je n’ai pas entendu ce qu’elle a dit.

Je n’ai pas entendu ce que vous avez dit.

Je n’ai pas entendu ce qu’ils ont dit.

Je n’ai pas entendu ce qu’elles ont dit.

Je n’ai jamais dit que Tom était nul.

Je n’ai pas bien compris.

Les Kabyles ou les Amazigh en géneral, je n’ai rien à leur apprendre sur le socialisme.

Après y avoir réfléchi en long, en large et en travers, je n’ai abouti à rien.

De temps à autre, elle sombrait dans une sorte de rêverie et, lorsqu’elle était totalement seule, elle raisonnait ainsi : « je suis souffrante et pourtant j’en ignore la cause. Je souffre, bien que je n’aie nulle blessure. Je me sens affligée et je n’ai pourtant égaré aucun de mes moutons. Je brûle, tout en me tenant assise à l’ombre. Combien de fois les ronces m’ont-elles écorché la peau sans que je ne pleure ? Combien d’abeilles m’ont-elles piquée de leurs dards et n’étais-je si vite guérie ? Ainsi ce qui m’a maintenant blessée au cœur doit être plus vif que tout cela ! »