J'y suis souvent allé.

Il faudra que j'y réfléchisse.

Si vous y allez, j'y vais.

J'y suis allé en bus et en train.

Il faut que j'y aille maintenant.

J'y suis également allé.

Je ne pouvais trouver personne pour m'accompagner, j'y suis donc allé seul.

J'y arriverai sans son aide.

J'y vais tous les ans.

"Si, j'y étais", répondit cet étudiant.

« Êtes-vous déjà allé à New York ? » « Oui, j'y suis allé deux ou trois fois. »

Je pense qu'il faut que j'y réfléchisse.

J'y penserai.

J'y serais à deux heures sans faute.

J'y ai pensé, et ce que nous faisons n'est tout simplement pas bien, aussi que se soit la dernière fois aujourd'hui.

J'y suis allé un nombre incalculable de fois.

J'y suis allé des dizaines de fois.

J'y ai été une fois.

Oui, j'y suis allé 2 ou 3 fois.

Je vais parfois à pied au travail, d'autres fois j'y vais en vélo, car mon service est près de chez moi.

J'aurai visité le Canada deux fois si j'y retourne.

Moi, j'y vais. Personne ne pourra m'en empêcher.

Advienne ce qui peut, j'y suis préparé.

Quoi qu'il advienne, j'y suis préparé.

Je t'écrirai dès que j'y arrive.

Il se peut que j'y aille, mais ça dépend des circonstances.

Les amis, il est temps que j'y aille.

Bien, il faut que j'y aille.

Je n'y vais pas pour mourir. J'y vais pour vivre.

J'y suis resté jusqu'à ce qu'il soit parti.

S'il vient, j'y vais aussi.

Si elle vient, j'y vais aussi.

Va voir ailleurs si j'y suis !

Si vous allez à la plage, j'y vais aussi.

J'y suis habitué.

J'allais assez souvent pêcher ; mais maintenant j'y vais rarement.

J'y ai songé toute la journée.

J'y ai réfléchi.

J'y suis arrivé à grand-peine.

Lorsque j'y repense maintenant, notre vie de famille était très misérable.

Je suis né à Matsuyama et j'y ai été élevé.

La beauté intérieure, j'y croirai quand ma bite aura des yeux.

J'y ai travaillé pendant de longues heures.

Il voudrait que j'y aille mollo.

Me lever à six heures du matin était difficile au début, mais j'y suis désormais accoutumé.

Et pendant que j'y suis, j'ai une autre question.

Pendant ma première année d'enseignement au collège, je l'ai réalisé : 17 ans s'étaient écoulés depuis que j'y étais rentré pour la première fois.

Le téléphone sonne. Si tu veux, j'y vais.

J'y ai pensé toute la journée.

J'y pense chaque jour.

J'y pense quotidiennement.

Plus j'y pense, moins je le comprends.

Plus j'y pense, moins je la comprends.

Plus j'y réfléchis, moins je le comprends.

Plus j'y réfléchis, moins je la comprends.

Qu'on me donne six lignes écrites de la main du plus honnête homme, j'y trouverai de quoi le faire pendre.

Les femmes sont véritablement assez dangereuses. Plus j'y songe, mieux je peux comprendre l'argument en faveur du voile.

Plus j'y pense, moins j'aime.

J'y suis arrivé juste à temps.

Plus j'y pense et plus je crois que t'es un maso, en fait.

Ils restent, j'y vais.

J'y suis opposé.

J'y vais.

Qu'importe que vous le croyez ou non, en tout cas, moi, j'y crois.

J'y vais moi aussi.

Je ne vois jamais une bibliothèque sans souhaiter avoir le temps de m'y rendre et d'y rester jusqu'à ce que j'y aie tout lu.

J'y suis accoutumé.

Le bain est trop chaud, j'y verse encore un peu d'eau froide.

J'y suis allé pour la voir.

Le magasin était fermé quand j'y suis allé.

J'y renonce.

J'y suis compétent.

Je reçois beaucoup de lettres et j'y réponds toujours.

La porte est ouverte. J'y vais pour la fermer.

J'avais l'intention de l'appeler mais j'y ai réfléchi autrement.

J'y suis allé.

J'y suis très favorable.

J'y ai consacré beaucoup de réflexion.

J'y accorde beaucoup d'importance, pour plusieurs raisons.

La fille engagée par ce magasin pour attirer les clients est assez jolie et à chaque fois que j'y vais je finis par acheter beaucoup de trucs.

Je n'irai pas, et du reste, même si j'y allais, ça serait superflu.

J'y suis allé dans le but de le rencontrer.

J'y suis allé pour le rencontrer.

J'y suis allé, également.

J'y suis allé aussi.

Il quitta la pièce dès que j'y pénétrai.

Il a quitté la pièce aussitôt que j'y ai pénétré.

Tout le monde veut que j'y aille, mais je n'en ai pas le goût.

J'ai rencontré de jolies jeunes femmes polonaises à l'université au Brésil et j'y ai aussi rencontré des gens très sympathiques qui parlaient polonais.

J'y suis allé hier.

Maintenant que j'y pense, j'ai vu Taro.

Elle ne craignait pas sa menace. « J'y survivrai. », dit-elle avec détachement.

J'y veillerai demain à la première heure.

J'y serai du lundi au jeudi.

Une proposition intéressante. J'y réfléchirai.

Mais j'y avais un autre avantage.

D'un autre côté, si la bourse ne s'effondrait pas et que je pouvais me payer une île grecque, qu'est-ce que j'y foutrais ?

J'y pense et puis j'oublie.

J'y suis allé « pedibus cum jambis ».

Parfois, j'y ajoute encore un peu de sel.

J'y pense tous les jours.