Les murs ont des oreilles.

Mon père a peint les murs en blanc.

Les murs soutenaient intégralement le poids du toit.

Sa voiture rasa les murs du tunnel.

Prenons bien conscience de la gravité de la journée d'aujourd'hui, car aujourd'hui, dans les murs accueillants de Boulogne-sur-Mer, ne se réunissent pas des Français avec des Anglais, des Russes avec des Polonais, mais des hommes avec des hommes.

Elle a peint les murs en blanc.

On peut avoir des murs sans toit, mais non un toit sans murs.

On peut avoir des murs sans toit, mais non un toit sans murs.

Attention ! Les murs ont des oreilles.

La catapulte propulsa le boulet par-dessus les murs du château.

Le système de guidage du robot est détraqué. Il n'arrête pas de se cogner aux murs.

Comme les voix sont réfléchies par les murs, cette pièce est bruyante.

La prochaine fois qu'il fera soleil, je peindrai les murs de la maison.

Les murs extérieurs de ce bâtiment sont tous ornés de sublimes mosaïques turquoises.

Les murs ont des oreilles, mais les portes shoji ont des yeux.

Les murs de ce château sont en granit. Granit que l'on extrayait des carrières situées en amont.

Une dizaine d'offres d'emploi est placardée sur les murs de cette agence d'intérim.

On a péché aussi bien à l'intérieur qu'à l'extérieur des murs de Troie.

Il a peint tous les murs en vert.

Il peignit les murs pour embellir la pièce.

Les murs soutenaient tout le poids de la toiture.

Les murs sont ensanglantés.

Les murs étaient couverts de graffitis.

Fais attention à ce que tu dis, Andrea; les murs ont des oreilles.

Il se tint pendant un moment à l'extérieur des murs de la prison, exultant de son évasion miraculeuse.

Le plancher était peint en vert, mais les murs étaient jaunes.

Les murs ont ici des oreilles ; quelqu'un nous épie en secret.

Je ne badigeonne pas leurs murs.

Je ne badigeonne pas vos murs.

Elle affirme être à même de voir à travers les murs.

Elle affirme être en mesure de voir à travers les murs.

Elle affirme être capable de voir à travers les murs.

Je suis incapable de voir à travers les murs.

L'essentiel est d'être bon aux gens avec qui l'on vit. Au dehors le Spartiate était ambitieux, avare, inique ; mais le désintéressement, l'équité, la concorde régnaient dans ses murs.

À l'extérieur, des murs plats sans structure régulière et sans ornementation enceignent les temples.

Je badigeonnais les murs.

Tu badigeonnais les murs.

J’ai badigeonné les murs.

Les habitations ont traditionnellement les murs blancs du côté sud.

Je déteste la couleur de ces murs.

Les gens, pas les murs, font les villes.

Il badigeonnait les murs.

Tom badigeonnait les murs.

Elle badigeonnait les murs.

Marie badigeonnait les murs.

Nous badigeonnions les murs.

Vous badigeonniez les murs.

Ils badigeonnaient les murs.

Elles badigeonnaient les murs.

La nuit était pleine de silence, et le ciel avait une hauteur démesurée. Des bouquets d’arbres débordaient, sur les longues lignes des murs. La ville entière dormait. Les feux des avant-postes brillaient comme des étoiles perdues.

Une maison sans livres est pauvre, même si de beaux tapis en recouvre le plancher et que de précieuses tentures et icônes en couvrent les murs.

De chaque côté de la route s'élèvent de vieux murs.

Il peut y avoir des murs sans toit, mais pas de toit sans murs.

Il peut y avoir des murs sans toit, mais pas de toit sans murs.

Les murs de sa chambre sont couverts de posters d’animaux.

Les murs de sa chambre sont couverts de posters de son idole.

Les murs de sa chambre sont couverts de posters de joueurs de foot.

Les murs de sa chambre sont couverts de posters de stars.

Après que le peuple allemand eut démoli le mur de Berlin - un mur qui faisait frontière entre l'Est et l'Ouest, entre la liberté et la tyrannie, entre la peur et l'espoir -, des murs tombèrent dans le monde entier.

Il faut protéger les meubles avant de peindre les murs.

Je levai la tête. Le ciel était bleu, et les rayons chauds du soleil, découpés par les longues cheminées, traçaient de grands angles de lumière au faîte des murs hauts et sombres de la prison. Il faisait beau en effet.

Ils m’ont amené dans une cellule où il n’y a que les quatre murs, avec beaucoup de barreaux à la fenêtre et beaucoup de verrous à la porte.

L'esprit de l'antiquité survit dans les colonnes et les murs des temples et des palais en ruine.

On dirait que quelqu'un a vomi ses tripes partout sur les murs.

Les mots sont des fenêtres ou des murs.

Nous avons peint les murs en blanc.

Les murs étaient peints de couleur sable.

Les murs étaient peints de couleur ocre.

Les murs étaient peints de couleur bistre.

Qui, voyant la nudité de ces murs, penserait qu'ici habite une reine ?

Tom n'aime pas la couleur des murs de sa chambre.

Si les murs pouvaient parler, quelles histoires nous conteraient-ils ?

Les détenus se sont échappés en forant des trous dans les murs de leurs cellules.

Les murs de Rome ont douze portes.

Construisons des ponts plutôt que des murs.

Comment peut-on prétendre qu'un pays est démocratique s'il est, en même temps, raciste, colonialiste, commet d'horribles crimes de guerres et construit des murs de séparation d'un autre âge ?

Les murs faisaient trois mètres de long.

Les murs de séparation raciste qui se construisent en Palestine n'ont aucun avenir, de même que le régime raciste qui les construit.

Ainsi dit Jupiter ; mais il craint que Didon, / ignorant les destins des enfants d'Ilion, / ne leur ferme les murs de sa cité nouvelle : / il lui députe alors son messager fidèle.

Ils marchent cependant ; déjà leur course agile / franchit l'étroit sentier qui les mène à la ville : / l'un et l'autre déjà, d'un pas laborieux, / gravissaient lentement la hauteur d'où leurs yeux / embrassent et l'enceinte et les murs de Carthage.

" Voilà Priam, et voilà notre histoire ! / Les murs de Junon même en gardent la mémoire. / Oui, jusque dans ces lieux la gloire a ses honneurs, / l'humanité ses droits, et la pitié ses pleurs. "

Là, le fils de Thétis, sous les murs d'Ilion, / avait traîné trois fois Hector dans la poussière, / et, d'un bras teint de sang, le vendait à son pére.

Telle Didon se montre à ses sujets nouveaux, / et de ses murs naissants anime les travaux.

Didon les fait d'abord admettre en sa présence. / À peine au bruit confus succède le silence, / celui dont l'âge mûr a mérité leur choix, / Ilionée, ainsi fait entendre sa voix : / " Grande reine ! dit-il d'un ton plein de noblesse, / vous dont ces murs naissants attestent la sagesse, / et qui, donnant des mœurs à ce peuple indompté, / avez au frein des lois asservi sa fierté, / d'un peuple généreux, que le malheur accable, / vous voyez devant vous le reste déplorable ; / il vient vous implorer. À peine nos vaisseaux / échappaient aux fureurs et des vents et des eaux, / une troupe ennemie, au sortir du naufrage, / a menacé des feux ce qu'épargna l'orage. / O reine ! ouvrez l'oreille à nos cris douloureux ; / sachez ce qu'on nous doit, en sachant qui nous sommes. "

" Thymète le premier, soit lâche trahison, / soit qu'ainsi l'ordonnât le destin d'Ilion, / des Grecs favorisant la perfide entreprise, / dans nos murs aussitôt prétend que l'on l'introduise. "

" Ou les Grecs sont cachés dans ces vastes contours, / ou ce colosse altier, qui domine nos tours, / vient observer Pergame ; ou l'affreuse machine / de nos murs imprudents médite la ruine. / Craignez les Grecs, craignez leurs présents désastreux : / les dons d'un ennemi sont toujours dangereux. "

Même les murs ont des oreilles.

" Calchas veut qu'aussitôt la voile se déploie : / tous nos traits impuissants s'émousseront sur Troie, / si, dans les murs d'Argos revolant sur les eaux, / les Grecs ne vont chercher des augures nouveaux. "

" Sa masse vous surprend ; mais ils ont craint, dit-on, / si dans les murs de Troie on pouvait l'introduire, / que son appui sacré ne sauvât votre empire, / de Pallas à vos murs ne rendît la faveur. "

" Sa masse vous surprend ; mais ils ont craint, dit-on, / si dans les murs de Troie on pouvait l'introduire, / que son appui sacré ne sauvât votre empire, / de Pallas à vos murs ne rendît la faveur. "

" Car, si quelqu'un de vous, d'un bras profanateur, / attentait sur ce don offert à la déesse, / bientôt, assouvissant sa fureur vengeresse, / ( Dieux puissants, sur les Grecs détournez son courroux ! ) / d'épouvantables maux éclateraient sur vous. / Mais, si vos murs s'ouvraient à ce don tutélaire, / sur nous-mêmes dès lors renvoyant sa colère, / vous dompteriez la Grèce, et votre empire heureux / s'étendrait à jamais sur nos derniers neveux. "

" Il faut fléchir Pallas, il faut offrir des vœux, / et conduire en nos murs ce colosse pompeux. "

O Troie ! ô ma patrie ! ô vénérable asile ! / Murs peuplés de héros ! murs bâtis par les dieux ! / Quatre fois, près d'entrer, le colosse odieux / s'arrête ; quatre fois on entend un bruit d'armes.

O Troie ! ô ma patrie ! ô vénérable asile ! / Murs peuplés de héros ! murs bâtis par les dieux ! / Quatre fois, près d'entrer, le colosse odieux / s'arrête ; quatre fois on entend un bruit d'armes.

Cependant, ô délire ! on poursuit sans alarmes, / et dans nos murs enfin, par un zèle insensé, / l'auteur de leur ruine en triomphe est placé.

Ils s'emparent de Troie ; et les vapeurs du vin / et la paix du sommeil secondant leur dessein, / ils massacrent la garde, ouvrent toutes les portes, / et la mort dans nos murs entre avec leurs cohortes.

Sa barbe hérissée, et ses habits poudreux, / le sang noir et glacé qui collait ses cheveux, / ses pieds qu'avaient gonflés, par l'excès des tortures, / les liens dont le cuir traversait leurs blessures ; / son sein encor percé des honorables coups / qu'il reçut sous nos murs en combattant pour nous : / tout de ses longs malheurs m'offrait l'image affreuse.

" Sinon vainqueur insulte aux désastres de Troie. / Triomphant au milieu de nos murs enflammés, / un monstre affreux vomit des bataillons armés : / et, tandis que ses flancs enfantent leurs cohortes, / des milliers d'ennemis, se pressant sous nos portes, / fondent sur nos remparts à flots plus débordés / qu'ils n'ont jamais paru dans nos champs inondés. "

Voyant le noble feu qui brûle dans leur sein : / " Cœurs généreux, hélas ! et généreux en vain, / vous le voyez : la flamme en tous lieux se déploie ; / comme nous asservis, les faibles dieux de Troie / de leurs temples brûlants ont quitté les autels. / Les dieux nous ont trahis ; et nous, faibles mortels, / nous secourons des murs qu'ils ne purent défendre ! / Qu'importe, amis ? mourons dans nos remparts en cendre, / mourons le fer en main, voilà notre devoir. "

On voit le long des murs les échelles dressées ; / sur les degrés sanglants les cohortes pressées, / aux fronts des chapiteaux, aux sommets des piliers, / montent ; et, d'une main tenant leurs boucliers, / des traits retentissants repoussent la tempête ; / de l'autre, du palais ils saisissent le faîte.

Au milieu des horreurs de ce jour sanguinaire, / trop digne d'achever l'ouvrage de son père, / du meurtrier d'Hector le barbare héritier, / Pyrrhus vient, et déploie Achille tout entier : / il menace, il attaque ; à sa fureur extrême, / les barrières, les murs, et la garde elle-même, / tout cède. Le bélier tonne à coups redoublés. / Arrachée à grand bruit de ses gonds ébranlés, / enfin, la porte tombe.