Vous ne savez pas qui je suis.

Comme vous le savez, la vie est comparable à un voyage.

Veuillez me dire ce que vous en savez.

C'est vous qui savez le mieux utiliser cette machine.

La persévérance, comme vous le savez, est la clé du succès.

Vous savez que ces deux nations sont en guerre pour quelques arpents de neige vers le Canada, et qu'elles dépensent pour cette belle guerre beaucoup plus que tout le Canada ne vaut.

Allez-y doucement avec Bob. Vous savez, il a traversé une période difficile récemment.

Vous savez danser, n'est-ce pas ?

Ainsi que vous le savez déjà.

Vous savez nager, n’est-ce pas ?

Vous savez ce que c'est.

Vous pouvez ajouter des phrases que vous ne savez pas traduire. Peut-être quelqu'un d'autre le saura-t-il !

Vous savez ce que sont des blessures corporelles sévères ? À quel point les blessures doivent-elles en être pour être comptées comme sévères ?

Vous savez, tout le monde est ignorant, seulement sur des sujets différents.

Si vous ne savez pas quel est votre but, vous ne pourrez jamais atteindre celui-ci.

Vous pouvez ajouter des phrases que vous ne savez pas comment traduire.

Mais vous savez, il serait triste de collecter toutes ces phrases et de les garder pour nous. Parce qu'il y a tellement de choses qu'on peut faire avec elles. C'est pourquoi Tatoeba est ouvert. Notre code source est ouvert. Nos données sont ouvertes.

Vous savez que la ville de Paris enregistre 28 bâtards sur un chiffre de 100 naissances.

Est-ce que vous savez pourquoi cette date est importante ?

Vous savez que vous maîtrisez réellement une langue étrangère quand vous êtes capable de rédiger un poème acceptable dans cette langue.

Vous ne savez pas le dire en asturien ?

Mon idéal, ce serait de travailler tranquille, de manger toujours du pain, d’avoir un trou un peu propre pour dormir, vous savez un lit, une table et deux chaises, pas davantage…

Il est dur d'aimer quelqu'un quand vous ne savez pas s'il vous aime autant que vous l'aimez.

Vous savez que votre anglais est bon lorsque les gens arrêtent de vous en complimenter.

Vous ne savez quoi vous inventer pour dépenser de l'argent.

Est-ce que vous savez où il habite ?

Vous pensez sûrement que vous savez comment faire ça, mais laissez-moi l'expliquer encore une fois.

Vous savez où me trouver si vous avez besoin de quoi que ce soit.

Plus vous étudiez, plus vous savez.

Vous ne savez pas pourquoi Tom était absent hier, n'est-ce pas ?

Vous ne savez pas ce que vous êtes en train de faire.

Le diable se cache dans les détails, ainsi que vous le savez tous.

Vous savez bien comme les amants sont idiots.

Vous savez bien que j'ai épousé une veuve.

Je suis une personne sensible, vous savez.

Si vous ne savez pas faire la paix avec vous-même, comment allez-vous la faire avec quiconque d'autre ?

Vous savez que je vous aime !

Vous savez quel est notre but.

Vous savez très bien comment c'est arrivé.

Vous savez très bien comment ça s'est produit.

Vous ne savez pas comment le faire?

Vous savez où me trouver.

Est-ce que vous savez nager ?

Vous savez que c'est vrai.

Je pense que vous savez ce que je veux dire.

La peinture, c'est très facile quand vous ne savez pas comment faire. Quand vous le savez, c'est très difficile.

La peinture, c'est très facile quand vous ne savez pas comment faire. Quand vous le savez, c'est très difficile.

Tôt ou tard, les hommes qui pensent et qui écrivent gouvernent l’opinion ; et l’opinion, comme vous le savez, gouverne le monde.

Si vous ne savez pas facilement l'expliquer, c'est que vous ne le comprenez pas encore.

Il faut que vous m'enseigniez ce que vous savez.

Vous devez m'enseigner ce que vous savez.

Vous n'en savez rien.

Vous ne savez jamais où vous aurez de la chance.

Vous savez comment c'est.

Elle sait que vous savez.

Il sait que vous savez.

Je sais que vous savez.

Vous savez quoi ? Nous allons en rester là.

Vous savez que je dois y aller.

Vous savez que je dois partir.

Vous savez qu'à cause de cela je vous déteste !

Il est inutile de prétendre que vous ne savez pas parler français.

Savoir est savoir que vous ne savez rien. C'est la signification du vrai savoir.

Un enfant, vous le savez bien, peut certes avoir dans le cœur des pensées qu'il peut dévoiler à son père, mais pas à un tiers.

Vous savez que ce n'est pas la manière avec laquelle nous devrions faire ça.

Vous savez tout ceci.

Vous le savez déjà.

Je veux savoir comment vous savez cela.

Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.

Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.

Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.

Vous savez quelle chanson je veux chanter.

Vous ne savez jamais ce qui peut arriver.

Je veux que vous me disiez tout ce que vous savez à ce sujet.

Je veux que vous me disiez tout ce que vous savez à ce propos.

Je veux que vous me disiez tout ce que vous en savez.

Vous savez ce que vous devez faire.

Vous savez ce que vous avez à faire.

Vous savez que nous ne vous ferions jamais de mal.

Vous ne savez pas danser, si ?

Je sais quelque chose que vous ne savez pas.

Vous savez à quoi l'enfer ressemble.

Ne paraissez pas si surpris ! Vous savez que je peux faire tout ce que je veux.

Ne paraissez pas si surprise ! Vous savez que je peux faire tout ce que je veux.

Vous savez, je me suis bien amusé.

Vous savez, je me suis bien amusée.

Ce que vous savez ne peut vous faire de mal.

Ce n'est pas une sainte, vous savez.

Vous ne savez pas ce que vous faites.

Vous savez de quoi je parle.

Vous ne savez donc pas, Sarah, combien vaut cette coupe ?

Vous savez parler allemand.

Vous ne savez pas ce que vous manquez.

Vous ne savez pas de quoi vous parlez.

Vous ne savez même pas comment.

Vous ne savez même pas de quelle manière.

Vous savez que ça n'a pas d'importance.

Vous savez que je ne danse pas.

Ne me dites pas que vous ne savez pas nager !

Ne me dites pas que vous ne savez pas lire !

« Quel est votre avis ? », demanda Maria à Tom, « Une infirmière en chef doit-elle faire preuve de sang-froid ou non ? » - « Cela m'est complètement égal, pour le simple fait que j'ignore totalement ce que signifie le mot "sang-froid". » - « Je suis pourtant certaine que vous le savez. Tout, dans votre façon de répondre, ou plus précisément votre façon de ne pas répondre, indique que vous faîtes preuve de sang-froid. »