À six ans il avait appris à se servir d’une machine à écrire et dit au maître qu’il n’avait pas besoin d’apprendre à écrire à la main !

Avec ses habits bariolés, sa longue perruque et ses gants blancs, on le croirait échappé d’une sorte de Disneyland.

Faire d’une pierre deux coups.

Elle a accouché d’une adorable petite fille la semaine dernière.

Il était assis sur le lit couvert d’une couverture grise bon marché telle qu’on en trouve dans les hôpitaux.

Nom d’une photo !

Dans la pièce, vissés au sol, sont disposés des lits sur lesquels sont assis ou allongés des gens habillés d’une blouse bleue d’hôpital et d’un bonnet à l’ancienne. Ce sont les fous.

Même au cours de ses jeunes années à l’université, il n’avait jamais donné l’impression d’une personne en bonne santé.

Il s'agira de passer d’une logique de guichet à des pratiques de partenariat.

Ce n’est pas bien de se moquer d’une personne âgée.

D’une certaine mesure, ça ressemble au football auquel on joue de nos jours.

Chaque partie du livre commence avec une citation prise de la vie de l’auteur : une phrase d’un livre, une question posée dans la rue à un inconnu, l'exclamation d’une amie.

La Révolution française naît d’une violente réaction au despotisme des monarques qui a caractérisé l’histoire de la France au XVIe et au XVIIe siècle.

L’action de la Révolution travaille sur ces points principaux : l’égalité juridique, la liberté individuelle, la séparation des pouvoirs de l’État, la rédaction d’une constitution et d’une déclaration des droits.

L’action de la Révolution travaille sur ces points principaux : l’égalité juridique, la liberté individuelle, la séparation des pouvoirs de l’État, la rédaction d’une constitution et d’une déclaration des droits.

Dans les deux extraits, l’Allemagne et l’Italie sont présentées comme deux nations dictatoriales, où les libertés d’opinion et de parole sont supprimées et les gouvernements agissent en faveur d’une riche minorité.

C’est une vérité presque incontestable qu’un jeune homme possesseur d’une grande fortune doit avoir besoin d’une épouse.

C’est une vérité presque incontestable qu’un jeune homme possesseur d’une grande fortune doit avoir besoin d’une épouse.

C’est une vérité universellement reconnue qu’un célibataire pourvu d’une belle fortune doit avoir envie de se marier.

C’est une vérité universellement admise, qu’un célibataire en possession d’une fortune solide doit avoir besoin d’une femme.

C’est une vérité universellement admise, qu’un célibataire en possession d’une fortune solide doit avoir besoin d’une femme.

C’est une vérité universellement admise, qu’un célibataire en possession d’une fortune solide se doit de vouloir prendre femme.

L’imagination d’une femme est bien vive, elle passe en un instant de l’admiration à l’amour, et de l’amour au mariage.

Sophie aperçut la tête blonde et frisée d’une jolie poupée de cire.

Elle apporta sur la table un pain tout chaud et un grand vase plein d’une crème épaisse excellente.

Une vie heureuse est impossible sans la sagesse, l’honnêteté et la justice, et celles-ci à leur tour sont inséparables d’une vie heureuse.

L’Union Européenne élargie a besoin d’une nouvelle Commission.

Le service militaire, dit obligatoire, n’est obligatoire que pour les hommes, ce qui permet la conclusion que, du point de vue de l’État, la vie d’un homme vaut moins que la vie d’une femme.

En privant leur population de la vision stéréoscopique que donne la connaissance d’une langue étrangère, les États de langue anglaise s’enferment dans une mentalité qui empêche leurs citoyens de comprendre les sociétés différentes des leurs.

Dans le style poétique, chaque mot retentit comme le son d’une lyre bien montée, et laisse toujours après lui un grand nombre d’ondulations.

Nous pouvons voyager dans le temps. Et nous le faisons à la vitesse incroyable d’une seconde par seconde.

C’est une amie d’une amie d’une amie.

C’est une amie d’une amie d’une amie.

Puisqu’on ne peut être universel et savoir tout ce qu’on peut savoir sur tout, il faut savoir un peu de tout. Car il est bien plus beau de savoir quelque chose de tout que de savoir tout d’une chose ; cette universalité est la plus belle.

Il a déboulé d’une impasse sans regarder.

Ils demandaient tout ce qui leur semblait beau : une bague, une ceinture, des sandales, la frange d’une robe, et, quand le Carthaginois dépouillé s’écriait : — « Mais je n’ai plus rien. Que veux-tu ? » Ils répondaient « Ta femme ! » D’autres disaient : — « Ta vie ! »

Alors on amena un taureau blanc avec une brebis noire, symbole du jour et symbole de la nuit. On les égorgea au bord d’une fosse.

Le feu prit un jour dans les coulisses d'un théâtre. Le bouffon vint en avertir le public. On crut à un mot plaisant et l'on applaudit ; il répéta, les applaudissements redoublèrent. C'est ainsi, je pense, que le monde périra dans l’allégresse générale des gens spirituels persuadés qu’il s’agit d’une plaisanterie.

Ce nain hideux était gros, court, ventru, et se mouvait avec une rapidité singulière sur deux jambes grêles et fluettes, qui, lorsqu’il s’asseyait, se repliaient sous lui comme les bras d’une araignée.

Mon oncle avait fait construire, sur les bords d’une jolie rivière qui baignait ses plantations, un petit pavillon de branchages, entouré d’un massif d’arbres épais, où Marie venait tous les jours respirer la douceur de ces brises de mer qui, pendant les mois les plus brûlants de l’année, soufflent régulièrement à Saint-Domingue, depuis le matin jusqu’au soir, et dont la fraîcheur augmente ou diminue avec la chaleur même du jour.

Je n’ai pas de gants ? ... La belle affaire ! Il m’en restait un seul d’une très vieille paire ! – Lequel m’était d’ailleurs encor fort importun. Je l’ai laissé dans la figure de quelqu’un.

Ensuite Hamilcar fit sortir une galère armée d’une catapulte à chaque bout.

Les vagues, dans leur roulis débridé, se couvraient d’une écume blanche.

La simple vue d’une fille le met dans tous ses états.

Le cheval vainqueur, après une âpre lutte, a distancé le suivant d’une encolure.

Tom dépasse certainement Marie d’une demi-tête.

Il n’était point sans inquiétude, lorsque dans le courant de la journée il n’avait pas en perspective un dîner pantagruélique, arrosé d’une raisonnable quantité de vins et d’eau-de-vie.

Un enfant ayant grandi dans plus d’une langue a un sens de la tolérance inné et naturellement un cœur ouvert.

Les voitures en 1912 sont encore l’apanage d’une élite.

Laissez les cheveux des côtés libres. À l’aide d’une brosse à cheveux et de laque, plaquez-les vers l’arrière, fixez avec des synopines.

Un matin, Marie vint à moi. Elle était rayonnante, et il y avait sur sa douce figure quelque chose de plus angélique encore que la joie d’un pur amour. C’était la pensée d’une bonne action.

J’étais enivré d’une joie qu’on ne saurait faire comprendre à qui ne l’a point éprouvée.

Ils ont incendié toutes les plantations et massacré les colons avec des cruautés inouïes. Je vous en ferai comprendre toute l’horreur par un seul détail. Leur étendard est le corps d’un enfant porté au bout d’une pique…

Morbleu ! criait d’une voix de tonnerre le général de Rouvray en frappant violemment sur la table du conseil, quels maudits bavards ! j’aimerais mieux lutter de poumons avec une pièce de vingt-quatre.

Quand les événements extraordinaires, les angoisses et les catastrophes viennent fondre tout à coup au milieu d’une vie heureuse et délicieusement uniforme, ces émotions inattendues, ces coups du sort, interrompent brusquement le sommeil de l’âme, qui se reposait dans la monotonie de la prospérité. Cependant le malheur qui arrive de cette manière ne semble pas un réveil, mais seulement un songe. Pour celui qui a toujours été heureux, le désespoir commence par la stupeur.

Et, malgré tous mes efforts pour fuir l’obsession d’une pensée bien plus déchirante encore, mon cœur revenait à Marie. Je m’interrogeais avec angoisse sur son sort ; je me roidissais dans mes liens comme pour voler à son secours, espérant toujours que le rêve horrible se dissiperait, et que Dieu n’aurait pas voulu faire entrer toutes les horreurs sur lesquelles je n’osais m’arrêter dans la destinée de l’ange qu’il m’avait donné pour épouse.

Au bout d’une demi-heure environ, nous débouchâmes sur une jolie savane verte, arrosée d’une eau de roche, et bordée par la lisière fraîche et profonde des grands arbres centenaires de la forêt.

Au bout d’une demi-heure environ, nous débouchâmes sur une jolie savane verte, arrosée d’une eau de roche, et bordée par la lisière fraîche et profonde des grands arbres centenaires de la forêt.

Elle était vêtue d’une robe blanche comme le jour de notre union, et portait encore dans ses cheveux la couronne de fleurs d’oranger, dernière parure virginale de la jeune épouse, que mes mains n’avaient pas détachée de son front. Elle m’aperçut, me reconnut, jeta un cri et tomba dans mes bras mourante de joie et de surprise. J’étais éperdu.

Que cette vallée me sembla belle ! on y voyait des platanes à fleurs d’érable d’une force et d’une hauteur prodigieuses ; des bouquets touffus de mauritias, sorte de palmiers qui exclut toute autre végétation sous son ombrage, des dattiers, des magnolias avec leurs larges calices, de grands catalpas montrant leurs feuilles polies et découpées parmi les grappes d’or des faux-ébéniers.

Que cette vallée me sembla belle ! on y voyait des platanes à fleurs d’érable d’une force et d’une hauteur prodigieuses ; des bouquets touffus de mauritias, sorte de palmiers qui exclut toute autre végétation sous son ombrage, des dattiers, des magnolias avec leurs larges calices, de grands catalpas montrant leurs feuilles polies et découpées parmi les grappes d’or des faux-ébéniers.

Qui va là ? cria le sergent d’une voix rauque.

"Ainsi, dit Éthel d’une voix altérée, vous n’êtes venu que pour mon père". Le jeune homme baissa la tête, car ces paroles lui semblaient bien injustes.

Éthel s’était lentement retirée des bras d’Ordener, et, aux lueurs de la lune, ils se regardaient avec ivresse ; seulement, l’œil de flamme du jeune homme respirait un mâle orgueil et un courage de lion, tandis que le regard demi-voilé de la jeune fille était empreint de cette pudeur, honte angélique, qui, dans le cœur d’une vierge, se mêle à toutes les joies de l’amour.

Qu’un malheureux soit jeté parmi les sauvages et hautes montagnes, près d’un sombre lac, d’une noire forêt, au moment où le jour va disparaître, il verra cette scène grave, cette nature sérieuse, en quelque sorte à travers un voile funèbre ; il ne lui semblera pas que le soleil se couche, mais qu’il meurt.

Tom est animé d’une forte ambition et il a du mal à tempérer une telle ambition effrénée.

Aux yeux d’une mère, tous ses enfants sont beaux.

Qui ne s’est point brusquement détourné de son chemin pour suivre, le soir, dans les détours d’une rue déserte, une robe flottante, un voile blanc tout à coup reconnu dans l’ombre ?

J’ai vu plus d’une fois, du fond d’une caverne noire, les jeunes filles de Kole ou d’Oëlmoe laver leurs pieds nus dans l’eau des torrents, en chantant d’une voix douce.

J’ai vu plus d’une fois, du fond d’une caverne noire, les jeunes filles de Kole ou d’Oëlmoe laver leurs pieds nus dans l’eau des torrents, en chantant d’une voix douce.

J’ai vu plus d’une fois, du fond d’une caverne noire, les jeunes filles de Kole ou d’Oëlmoe laver leurs pieds nus dans l’eau des torrents, en chantant d’une voix douce.

Ce contre-temps déconcerta le vieux soldat, accoutumé à rire devant la mitraille de cent canons, mais non devant les artifices d’une femme.

Il y a quelque chose de sinistre et de désolé dans l’aspect d’une campagne rase et nue, quand le soleil a disparu, lorsqu’on est seul, qu’on marche en brisant du pied des tronçons de paille sèche, au cri monotone de la cigale, et qu’on voit de grands nuages déformés se coucher lentement sur l’horizon, comme des cadavres de fantômes.

Connaissez-vous un jeune homme au visage noble, à la taille élégante, à la démarche grave et assurée ? son œil est doux et austère, son teint frais comme celui d’une jeune fille, ses cheveux châtains.

Même quand je serai grand et que j’aurai un travail, je pense que je continuerai la musique d’une manière ou d’une autre.

Même quand je serai grand et que j’aurai un travail, je pense que je continuerai la musique d’une manière ou d’une autre.

Le visage du condamné brillait d’une douloureuse joie.

Victor Hugo est né avec ce siècle qu’il devait remplir, à lui seul, d’une gloire ineffaçable.

C’était une chose repoussante que toutes ces monstrueuses paroles sortant de cette bouche vermeille et fraîche. On eût dit la bave d’une limace sur une rose.

Et, contrairement aux médias dominants, on ne peut parler « d’aide apportée par le Fonds Monétaire International à l’Ukraine » puisqu’il s’agit en fait d’une aide du FMI aux créanciers.

Elle se mit à courir devant moi avec sa taille fine comme le corset d’une abeille et ses petits pieds qui relevaient sa robe jusqu’à mi-jambe.

Je me suis réveillé, frissonnant et baigné d’une sueur froide.

Le corsage de la bohémienne glissa dans ses mains comme la robe d’une anguille.

Un bon souper, en tête à tête aimable, lui paraissait, surtout quand il avait faim, un entracte excellent entre le prologue et le dénouement d’une aventure d’amour.

Une jeune fille bizarrement vêtue sortit de la foule. Elle était accompagnée d’une petite chèvre blanche à cornes dorées et portait un tambour de basque à la main.

Elle était d’une beauté si rare qu’au moment où elle parut à l’entrée de l’appartement il sembla qu’elle y répandait une sorte de lumière qui lui était propre.

La propagande sioniste qui appelle à la colonisation juive « d’une terre sans peuple pour un peuple sans terre ».

Il s'agit là d'un moment dur et difficile : il se peut qu’ils nous écrasent. Mais le futur sera celui du peuple, sera celui des travailleurs. L’humanité avance pour la conquête d’une vie meilleure.

Le général défile, accompagné d’une ribambelle de militaires.

J’explique à l’aide d’une photo.

La durée d’une blanche équivaut à deux noires, ou quatre croches, ou huit doubles-croches, ou encore seize quadruples-croches.

Le but d’une «conclusion » est de reprendre et résumer les points essentiels d’un document.

Il suffit d’une goutte de vin pour rougir tout un verre d’eau.

Pour le prochain cours, je veux que vous transcriviez les paroles d’une chanson de n’importe quel chanteur tant que c’est en anglais.

Tu m’as pas été d’une grande aide, aujourd’hui.

Tom a été placé en détention provisoire dans le cadre d’une enquête de police sur la mort de son beau-frère.

Ceux qui ne connaissent que la campagne ne savent pas ce qu’est la campagne, et ceux qui n’ont jamais mis les pieds en dehors d’une ville ne savent pas ce qu’est la ville.

Tu n’as pas l’étoffe d’une meneuse.

Vous n’avez pas l’étoffe d’une meneuse.

Sa fille a l’étoffe d’une bonne enseignante.

Sa fille a l’étoffe d’une bonne professeure.