French example sentences with "d’un"

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Les données suggèrent que la durée optimale d’un cours magistral serait de 30 au lieu de 60 minutes.

J’ai envie d’un massage. J'ai besoin de me détendre.

Les ascenseurs d’un gratte-ciel sont des systèmes vitaux.

Il a pris prétexte d’un mal de tête pour rentrer plus tôt.

Le portrait d’un vieil homme était accroché au mur.

« Où es-tu allé ? » « Je suis allé à la gare saluer le départ d’un ami. »

Mon oncle est mort hier d’un cancer à l’estomac.

C’est l’opinion d’un dilettante.

Dans la pièce, vissés au sol, sont disposés des lits sur lesquels sont assis ou allongés des gens habillés d’une blouse bleue d’hôpital et d’un bonnet à l’ancienne. Ce sont les fous.

Dans l’appartement vivent deux filles et trois garçons, provenant chacun d’un pays différent.

Chaque partie du livre commence avec une citation prise de la vie de l’auteur : une phrase d’un livre, une question posée dans la rue à un inconnu, l'exclamation d’une amie.

Chaque année, plus de 20 000 américains sont victimes d’un assassinat.

Le quatrième document est un extrait d’un décret qui propose la confiscation des biens du clergé, en revendiquant la souveraineté de la nation au-dessus de toute autre souveraineté en matière de propriété territoriale.

Le cinquième document est une gravure satyrique contre les privilégiés, qui représente la revanche d’un vieux paysan.

Le vieux paysan est représenté sur le dos d’un noble, qui s’appuie, pour ne pas tomber, sur un clerc.

Le régime en France au XVIIe siècle était non seulement une monarchie, mais une monarchie absolue, où les trois pouvoirs de l’État, exécutif, législatif et judiciaire, étaient concentrés dans les mains d’un seul homme, le roi.

L’homme pauvre, mais indépendant des hommes, n’est qu’aux ordres de la nécessité. L’homme riche, mais dépendant, est aux ordres d’un autre homme ou de plusieurs.

Une nation est une âme, un principe spirituel. Deux choses qui, à vrai dire, n’en font qu’une constituent cette âme, ce principe spirituel. L’une est dans le passé, l’autre dans le présent. L’une est la possession en commun d’un riche legs de souvenirs; l’autre est le consentement actuel, le désir de vivre ensemble, la volonté de continuer à faire valoir l’héritage qu’on a reçu indivis.

Il faut voir les attentives précautions de la mère dont les gros doigts, à la peau dindonneuse et grenue, déformés par le travail, osent à peine tenir les boules d’or du peigne, et le joli sourire de la petite Parisienne, levant son bras orné d’un bracelet de corail ou plutôt d’un serpent de celluloïd rose !

Il faut voir les attentives précautions de la mère dont les gros doigts, à la peau dindonneuse et grenue, déformés par le travail, osent à peine tenir les boules d’or du peigne, et le joli sourire de la petite Parisienne, levant son bras orné d’un bracelet de corail ou plutôt d’un serpent de celluloïd rose !

Elle poussa un cri de joie et voulut saisir la poupée, qui était encore couverte d’un papier d’emballage.

M. le comte arrive dans cinq minutes, dit-il d’un air insolent.

La fermière vient de me faire cadeau d’un grand pot de crème et d’un pain bis tout frais.

La fermière vient de me faire cadeau d’un grand pot de crème et d’un pain bis tout frais.

De même que, en temps de guerre, officiers et soldats se sentent autorisés par l’opinion générale à commettre des actes qui, en temps de paix, sont tenus pour criminels, de même les révolutionnaires, dans leur lutte, se regardaient comme couverts par l’opinion de leur cercle, en vertu de laquelle les actes de cruauté qu’ils commettaient étaient nobles et moraux, étant commis par eux au prix de leur liberté, de leur vie, de tout ce qui est cher à la plupart des hommes. Ainsi s’expliquait, que des personnes excellentes, incapables non seulement de causer une souffrance, mais même d’en supporter la vue, pussent se préparer tranquillement à la violence et au meurtre, et professer la sainteté de tels actes, considérés comme moyens de défense, ou encore comme instrument utile à la réalisation d’un idéal de bonheur pour l’humanité.

La nostalgie réactionnaire d’un âge d’or fait d’homogénéité culturelle et de domination anglo-protestante est mise en évidence par le succès des 'Tea Parties', qui mobilisent une population blanche non hispanique vieillissante.

Le service militaire, dit obligatoire, n’est obligatoire que pour les hommes, ce qui permet la conclusion que, du point de vue de l’État, la vie d’un homme vaut moins que la vie d’une femme.

Paris est tout petit pour ceux qui s’aiment d’un aussi grand amour.

Le premier mérite d’un tableau est d’être une fête pour l’œil.

À la place d’un retour nécessaire du politique permettant de s’attaquer pour de bon à la ré- gulation des marchés, on assiste à la mise en œuvre de programmes d’austérité qui aggraveront la crise sociale et réduiront les moyens de traiter l’enjeu écologique.

J’ai besoin d’un clavier pour être drôle.

Je soutiens l’idée d’un revenu de base. Le revenu de base est un revenu versé inconditionnellement à tous les citoyens.

Si les Suisses se mettaient maintenant à apprendre l’espéranto, au bout d’un an, le problème des langues, qui affecte tout le pays, n’existerait plus.

J’avais besoin d’un manteau.

Nous pouvons juger le cœur d’un homme par son comportement envers les animaux.

Tu avais besoin d’un manteau.

J’ai envie de bonbecs tout d’un coup.

C’est un ami d’un ami.

Tom avait besoin d’un manteau.

Elle avait besoin d’un manteau.

Marie avait besoin d’un manteau.

Muse, raconte-moi ces grands évènements. Dis pourquoi de Junon les fiers ressentiments, Poursuivant en tous lieux le malheureux Énée, Troublèrent si long-temps la haute destinée D’un prince magnanime, humain, religieux. Tant de fiel entre-t-il dans les âmes des dieux !

La reine cependant, atteinte au fond de l’âme, Nourrit d’un feu secret la dévorante flamme.

On les entraîna en dehors des tentes, et on les précipita dans la fosse aux immondices. Avec des chaînes de fer ils furent attachés par le ventre à des pieux solides, et on leur tendait la nourriture à la pointe d’un javelot.

Tout entier aux pures émotions d’un amour que rien ne semblait devoir traverser, d’un amour éprouvé et partagé depuis l’enfance par la femme qui m’était destinée, je n’accordais que des regards fort distraits à tout ce qui n’était pas Marie.

Tout entier aux pures émotions d’un amour que rien ne semblait devoir traverser, d’un amour éprouvé et partagé depuis l’enfance par la femme qui m’était destinée, je n’accordais que des regards fort distraits à tout ce qui n’était pas Marie.

Mon oncle avait fait construire, sur les bords d’une jolie rivière qui baignait ses plantations, un petit pavillon de branchages, entouré d’un massif d’arbres épais, où Marie venait tous les jours respirer la douceur de ces brises de mer qui, pendant les mois les plus brûlants de l’année, soufflent régulièrement à Saint-Domingue, depuis le matin jusqu’au soir, et dont la fraîcheur augmente ou diminue avec la chaleur même du jour.

Je m’enorgueillis d’un pareil appendice, attendu qu’un grand nez est proprement l’indice d’un homme affable, bon, courtois, spirituel, libéral, courageux, tel que je suis.

Je m’enorgueillis d’un pareil appendice, attendu qu’un grand nez est proprement l’indice d’un homme affable, bon, courtois, spirituel, libéral, courageux, tel que je suis.

J’aime Cléopâtre : ai-je l’air d’un César ?

Un baiser, mais à tout prendre, qu’est-ce ? Un serment fait d’un peu plus près, une promesse plus précise, un aveu qui veut se confirmer, un point rose qu’on met sur l’i du verbe aimer. C’est un secret qui prend la bouche pour oreille, un instant d’infini qui fait un bruit d’abeille, une communion ayant un goût de fleur, une façon d’un peu se respirer le cœur.

Un baiser, mais à tout prendre, qu’est-ce ? Un serment fait d’un peu plus près, une promesse plus précise, un aveu qui veut se confirmer, un point rose qu’on met sur l’i du verbe aimer. C’est un secret qui prend la bouche pour oreille, un instant d’infini qui fait un bruit d’abeille, une communion ayant un goût de fleur, une façon d’un peu se respirer le cœur.

Les Anciens décidèrent qu’il irait de sa prison à la place de Khamon, sans aucune escorte, les bras attachés dans le dos ; et il était défendu de le frapper au cœur, pour le faire vivre plus longtemps, de lui crever les yeux, afin qu’il pût voir jusqu’au bout sa torture, de rien lancer contre sa personne et de porter sur elle plus de trois doigts d’un seul coup.

Des chevilles aux hanches, elle était prise dans un réseau de mailles étroites imitant les écailles d’un poisson et qui luisaient comme de la nacre : une zone toute bleue serrant sa taille laissait voir ses deux seins, par deux échancrures en forme de croissant. Des pendeloques d’escarboucles en cachaient les pointes.

Une jeune fille, dissimulant sous sa manche la pointe d’un fuseau, lui fendit la joue.

D’un seul coup il fendit la poitrine de Mâtho, puis en arracha le cœur.

Courbé sous le poids des ans, le vieil homme marchait d’un pas titubant, comme s’il avait abusé de boisson.

C’est une fille tellement belle, comme seule la nature peut en créer. Mon ami la regardait d’un regard avide.

Celui qui accepte un cadeau se charge d’un fardeau.

Ce n’est pas d’un coup de hache qu’on abat un arbre.

M. Oblomoff pouvait avoir de trente-deux à trente-trois ans : il était de taille moyenne et d’un extérieur agréable ; il avait les yeux gris foncé, mais ses traits accusaient l’absence de toute idée profonde et arrêtée.

La jeune femme fut prise d’un vertige.

Il a bu d’un seul trait la canette de bière.

Un matin, Marie vint à moi. Elle était rayonnante, et il y avait sur sa douce figure quelque chose de plus angélique encore que la joie d’un pur amour. C’était la pensée d’une bonne action.

Ils ont incendié toutes les plantations et massacré les colons avec des cruautés inouïes. Je vous en ferai comprendre toute l’horreur par un seul détail. Leur étendard est le corps d’un enfant porté au bout d’une pique…

Je me rappelais les jours sereins et toujours les mêmes que, peu de semaines auparavant, je passais encore près de Marie, sans même entrevoir dans l’avenir une autre possibilité que celle d’un bonheur éternel.

Écoute, me dit-il d’un ton froid, mon père était roi au pays de Kakongo.

La terreur qui oppressait Marie, à la seule idée d’un malheur que sa trop prévoyante tendresse semblait deviner, me faisait une loi de lui en cacher la réalité et de lui épargner des adieux si déchirants.

Vous voyez, représentant, continua le général avec tranquillité, la différence de nos missions ; nous envoyons tous deux, chacun de notre côté, une liste à la Convention. Le même nom se trouve dans les deux listes. Vous le dénoncez comme le nom d’un traître, moi comme celui d’un héros ; vous le vouez à l’ignominie, moi à la gloire ; vous faites dresser un échafaud, moi un trophée : chacun son rôle. Il est heureux pourtant que ce brave ait pu échapper dans une bataille à vos supplices. Dieu merci ! celui que vous voulez faire mourir est mort. Il ne vous a pas attendu.

Vous voyez, représentant, continua le général avec tranquillité, la différence de nos missions ; nous envoyons tous deux, chacun de notre côté, une liste à la Convention. Le même nom se trouve dans les deux listes. Vous le dénoncez comme le nom d’un traître, moi comme celui d’un héros ; vous le vouez à l’ignominie, moi à la gloire ; vous faites dresser un échafaud, moi un trophée : chacun son rôle. Il est heureux pourtant que ce brave ait pu échapper dans une bataille à vos supplices. Dieu merci ! celui que vous voulez faire mourir est mort. Il ne vous a pas attendu.

Cette jeune fille, que je connais bien, était en effet fiancée à un jeune mineur écrasé dernièrement par un éclat de rocher dans les galeries souterraines de Storwaadsgrube, près Roeraas ; mais elle était aussi la maîtresse d’un de mes camarades ; et comme avant-hier elle voulut s’introduire à Munckholm furtivement pour y célébrer avec son amant la mort de son fiancé, la barque qui la portait chavira sur un écueil, et elle s’est noyée.

Il était vêtu d’un simple habit de voyage, armé d’un sabre et enveloppé d’un large manteau vert ; une plume noire, attachée à son chapeau par une boucle de diamants, retombait sur sa noble figure et se balançait sur son front élevé, ombragé de longs cheveux châtains ; ses bottines et ses éperons, souillés de boue, annonçaient qu’il venait de loin.

Il était vêtu d’un simple habit de voyage, armé d’un sabre et enveloppé d’un large manteau vert ; une plume noire, attachée à son chapeau par une boucle de diamants, retombait sur sa noble figure et se balançait sur son front élevé, ombragé de longs cheveux châtains ; ses bottines et ses éperons, souillés de boue, annonçaient qu’il venait de loin.

Il était vêtu d’un simple habit de voyage, armé d’un sabre et enveloppé d’un large manteau vert ; une plume noire, attachée à son chapeau par une boucle de diamants, retombait sur sa noble figure et se balançait sur son front élevé, ombragé de longs cheveux châtains ; ses bottines et ses éperons, souillés de boue, annonçaient qu’il venait de loin.

On ne sait s’il est mort d’un suicide ou d’un assassinat.

On ne sait s’il est mort d’un suicide ou d’un assassinat.

Une porte était entr’ouverte ; une jeune fille agenouillée dans un oratoire gothique, au pied d’un simple autel, récitait à demi-voix les litanies de la Vierge.

Il y avait dans les yeux de la jeune fille, dans la naïveté de sa tendresse, dans la douce hésitation de ses épanchements, un charme que des paroles humaines n’exprimeraient pas. Ordener l’écoutait avec cette joie rêveuse d’un être qui serait enlevé au monde réel pour assister au monde idéal.

Éthel resta quelques instants pâle et muette ; ses larmes s’étaient taries, son sein gonflé respirait péniblement, elle regardait la terre d’un œil terne et indifférent, de l’œil dont le condamné la regarde au moment où la hache se lève derrière lui sur sa tête.

L’hôte de la Mouette d’or, petite taverne où le grand personnage était descendu, avait pris lui-même un air mystérieux et répondait à toutes les questions : « Je ne sais pas », d’un air qui voulait dire : « Je sais tout, mais vous ne saurez rien. »

N’entends-je pas le pas d’un cheval qui vient à nous ?

C’était en la sauvant d’un grand péril que Caroll avait enfin obtenu sa Lucy. Un jour il avait entendu des cris dans un bois ; c’était sa Lucy qu’un brigand, redouté de tous les montagnards, avait surprise et paraissait vouloir enlever.

L’aspect d’un lac, le soir, produit quelquefois, à une certaine distance, une singulière illusion d’optique ; c’est comme si un abîme prodigieux, perçant le globe de part en part, laissait voir le ciel à travers la terre.

Qu’un malheureux soit jeté parmi les sauvages et hautes montagnes, près d’un sombre lac, d’une noire forêt, au moment où le jour va disparaître, il verra cette scène grave, cette nature sérieuse, en quelque sorte à travers un voile funèbre ; il ne lui semblera pas que le soleil se couche, mais qu’il meurt.

Marie est tenue en grande estime et jouit d’un respect considérable.

D’un accord commun, nous avons décidé de nous voir moins souvent.

En ce moment, un rayon de lumière tomba sur le visage d’un des six accusés.

Il a aimé l’humanité, comme le Christ l’aima, d’un amour infini.

En face de moi, une fenêtre était toute grande ouverte. J’entendais rire sur le quai des marchandes de fleurs ; et, au bord de la croisée, une jolie petite plante jaune, toute pénétrée d’un rayon de soleil, jouait avec le vent dans une fente de la pierre.

Jusqu’à l’arrêt de mort, je m’étais senti respirer, palpiter, vivre dans le même milieu que les autres hommes ; maintenant je distinguais clairement comme une clôture entre le monde et moi. Rien ne m’apparaissait plus sous le même aspect qu’auparavant. Ces larges fenêtres lumineuses, ce beau soleil, ce ciel pur, cette jolie fleur, tout cela était blanc et pâle, de la couleur d’un linceul. Ces hommes, ces femmes, ces enfants qui se pressaient sur mon passage, je leur trouvais des airs de fantômes.

À l’aspect des tourelles du château où il était né, il proféra des malédictions, et ne tarda point à être atteint d’un violent accès de fièvre.

La tête d’un voleur a deux noms : la sorbonne, quand elle médite, raisonne et conseille le crime ; la tronche, quand le bourreau la coupe.

Paris est né, comme on sait, dans cette vieille île de la Cité qui a la forme d’un berceau.

Elles causaient entre elles avec cette voix chuchotante et ces demi-rires étouffés d’un conciliabule de jeunes filles au milieu desquelles il y a un jeune homme.

« Entre nous, il doit être bien clair qu’il n’y a pas de place pour deux peuples dans ce petit pays. Si les Arabes s’en vont, il sera ouvert et libre pour nous. Si les Arabes restent, le pays restera étriqué et misérable. Quand la guerre sera finie et que les Anglais l’auront gagnée, quand les juges siégeront sur le trône de la Loi, notre peuple devra présenter devant eux ses besoins et ses droits ; et la seule solution est la terre d’Israël, ou du moins la partie occidentale d’Israël, c’est-à-dire la Palestine, sans les Arabes. Il n’y a pas de compromis possible sur ce point ! Jusqu’ici, l’entreprise sioniste a fait du bon travail en préparant la création de l’État hébreu. Jusqu’ici, on pouvait se contenter "d’acquérir des terres", mais ce n’est pas cela qui fondera l’État d’Israël. Cela doit se faire d’un seul coup, comme la Rédemption. Et il n’y a pas d’autres moyens que de transférer les Arabes d’ici vers les pays voisins, et de les transférer tous ; à l’exception peut-être de Bethléem, Nazareth et la vieille ville de Jérusalem, nous ne pouvons tolérer un seul village, une seule tribu. Le transfert doit se faire vers l’Irak, la Syrie ou même la Transjordanie. »

Le poète israélien Natan Zakh a déclaré : « J’ai fui d’un État nazi pour me retrouver dans un État fasciste. »

Merci d'avoir compris le drame de ma patrie, qui comme le dirait Pablo Neruda est celui d’un Vietnam silencieux ; il n’y a pas de troupes d’occupation, ni d’avions puissants obscurcissant le ciel pur de ma terre. Mais nous affrontons un blocus économique, mais nous sommes privés de crédits, mais nous ne pouvons acheter de provisions, mais nous n'avons pas de quoi acheter des aliments et les médicaments nous manquent...

En cette heure funeste je veux vous rappeler quelques unes de mes paroles tenues en 1971, je vous les dis calmement, avec une absolue sérénité : je ne suis pas bâti de la manière dont on fait les apôtres et les messies. Je n’ai pas l’envergure d’un martyr, je suis un lutteur social qui accomplit la mission que le peuple lui a confiée.

Il incarne un incorrigible goût de la jactance, une incapacité à résister aux facilités de la pensée toute faite, une obsession de l’intrigue. Bref, de la part d’un ministre, l’irresponsabilité.

C’est vrai qu’on guérit d’un rhume en le refilant à quelqu’un d’autre ?

Je me demande pourquoi le ciel est aussi beau après le passage d’un typhon.

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